Localisation
L’école secondaire Hekima se situe à Bukoba (environ 100.000 habitants) tout au Nord-Ouest de la Tanzanie, au bord du Lac Victoria. La Tanzanie est un pays à revenu faible, dont la
population est l’une des plus jeunes habitants ayant moins de 15 ans.
Situation actuelle
Les bâtiments de l’école secondaire Hekima ont été construits dans les années 1930. Au cours des années, il y a eu des travaux de rénovation, mais l’école ne dispose pas encore d’équipements technologiques. En Tanzanie aussi, l’utilisation de technologies modernes devient de plus en plus importante. Actuellement, il n’y a ni ordinateurs, ni projecteurs à l’école.
Quelques informations sur l'école Hekima
Bien que les bâtiments aient été construits dans les années 1930, l’école Hekima n’existe que depuis 1988. L’école a été fondée afin d’offrir une opportunité aux filles de recevoir une bonne éducation secondaire. Même si la situation s’est beaucoup améliorée depuis les années 1980, 1,5 millions d’adolescents en Tanzanie n’ont toujours pas accès à l’école secondaire (Human Rights Watch, 2017). L’objectif de l’école Hekima est de sortir les filles de la pauvreté en leur offrant une bonne éducation. L’apprentissage des nouvelles technologies va encore d’avantage permettre à ces filles de s’émanciper et d’ainsi trouver de bons emplois.
Description du projet (download Flyer)
- Activités de rénovation des planchers, fenêtres, plafonds et murs
- Révision du système électrique
- Equipement par des ordinateurs et projecteurs - Installation de l’internet
- Formation pour les élèves et enseignants sur les nouvelles technologies
Les bénéficiaires primaires de ce projet sont les élèves et les enseignants de l’école Hekima. Indirectement, la communauté et les familles vont bénéficier des qualifications supplémentaires que les élèves et enseignants ont acquises. D’ailleurs, les membres de la communauté et les élèves des écoles communautaires pourront aussi utiliser les ordinateurs sur demande. Il est donc estimé que le projet va bénéficier à un total de 400 personnes.
84'700.09 EUR : Budget alloué au projet
62'678.07 EUR : Contribution du Gouvernement luxembourgeois
22'022.02 EUR : Contribution de l’Action pour un Monde Uni asbl
Partenaire local en Tanzanie: Sisters of St. Therese of the Child Jesus.
Cofinancement du Ministère de la Coopération luxembourgeoise selon Accord Cadre de Coopération signé entre le Ministère de la Coopération luxembourgeoise et l’ONG Action pour un Monde Uni en date du 11.01.2018.
Localisation
Le projet se réalise en République Démocratique du Congo, dans la Province du Kwilu, territoire de Bulungu au village Kikoti, situé à environ 500 km à l’Est de Kinshasa. Les habitants du village de Kikoti vivent principalement d’une agriculture primitive et simple.
Situation actuelle
La vie au village de Kikoti n’est pas facile: Les gens n’ont pas d’accès à l’eau potable, ni au réseau publique d’ électricité. Il y a peu de commerces, peu d’ infrastructures publiques et de moyens de transport disponibles. Les techniques agricoles ainsi que les techniques de séchage du manioc ne sont pas appropriées. Les distances à parcourir jusqu’ au prochain moulin à manioc et au maïs sont énormes.
Quelques informations
Le village de Kikoti s’étend sur une superficie de 25 km2 avec une population d’environ 42.000 habitants. De nombreuses personnes, n’ayant pas trouvé d’emploi dans la région, se sont installées dans cette périphérie. Les quelques écoles existantes du village sont souvent non accessibles pour les enfants les plus démunis. Les salles de classe se trouvent souvent dans des bâtiments rudimentaires sans l’infrastructure indispensable tels que des pupitres et chaises.
Description du projet (download FLYER)
- Construction et équipement de 6 salles de classe avec les installations sanitaires adéquates.
- Formation aux nouvelles techniques agricoles de 250 villageois.
- Cours en agriculture pour 450 élèves.
- Installation d’un séchoir pour le manioc et d’un moulin à manioc et au maïs.
450 élèves profiteront des salles de classe et des installations sanitaires.
250 agriculteurs apprendront les nouvelles techniques de culture et de séchage.
5.250 villageois peuvent faire sécher les cossettes de manioc au séchoir.
5.250 villageois utiliseront le moulin pour moudre le manioc et le maïs.
309'630.35 EUR : Budget alloué au projet
206'420.23 EUR : Contribution du Gouvernement luxembourgeois
103'210.12 EUR : Contribution de l’Action pour un Monde Uni asbl
Partenaire local en RDC : AECOM.
Cofinancement du Ministère de la Coopération luxembourgeoise selon Accord Cadre de Coopération signé entre le Ministère de la Coopération luxembourgeoise et l’ONG Action pour un Monde Uni en date du 11.01.2018
Coût total du projet: 51'262.40 €
Action pour un Monde Uni: 17'087.47 €
Gouvernement Luxembourgeois: 34'174.93 €
Partenaire local: Mouvement des Focolares à Bamenda
Les activités de boulangerie se sont progressivement développées par la production de pain, de gâteaux, de tourte de poisson et chinchin – une spécialité locale.
Depuis juillet 2008 la vente de pain se fait dans trois magasins dont un supermarché ce qui fait que l’offre de pain atteint une clientèle plus large. Depuis mars 2009 le pain est également livré à l’hôpital pour les personnes diabétiques ainsi qu’à un magasin spécialisé en alimentation diététique.
Les gâteaux et la pâtisserie sont surtout vendus pour des événements spéciaux comme des mariages, des fêtes familiales ou des anniversaires. Bien que les gâteaux soient demandés de plus en plus, le pain reste le produit le plus vendu.
La formation en matière de restauration, initiée en mars 2008 s’est déroulée comme prévue et commence à porter ses premiers fruits. Entre avril 2008 et mars 2009 le service de restauration a pu être offert à quatre reprises. Toutes sortes de gâteaux ont pu être livrés à l’occasion de mariages, de décès et d’autres fêtes familiales.
A n de pouvoir offrir un service plus complet encore, il y a eu, à partir de novembre 2008, quelques activités de couture pour la décoration des salles de fêtes.
Coût total du projet: 381'663.20 €
Action Avenir Haïti asbl: 24'869.48 €
Action pour un Monde Uni: 22'380.00 €
Gouvernement Luxembourgeois: 324'413.72 €
Projet réalisé en coopération avec ACTION AVENIR HAITI asbl.
En 2010 Action Avenir Haïti asbl. a acheté le terrain avec l’immeuble et a clôturé le terrain avec un mur. L’ancienne maison étant partiellement démolie, la charpente et les tôles de la toiture ont pu être utilisées pour construire des salles de classe provisoires longeant le mur qui limite le terrain sur le côté droit.
Afin de garantir un minimum d’hygiène pour la cantine, une annexe (seulement rez-de-chaussée) a été construite avec les fonds de l’asbl AAH Luxembourg. Pour la même raison les latrines ont déjà été construites.
Grâce à la mise en place de ces structures provisoires l’année scolaire 2010/2011 a pu être assurée.
Aujourd’hui 200 enfants orphelins, monoparentaux ou démunis ont la chance de fréquenter cette école gratuitement, et peuvent y apprendre à lire et à écrire. De même chaque enfant a droit à un repas chaud par jour, servi à l’école, et dispose du matériel et d’un uniforme scolaire, indispensables pour suivre les cours.
Les 9 enseignants travaillent sous un contrat de travail et peuvent profiter d’une assurance maladie.
AAH Luxembourg paye aussi un directeur administratif, un conseiller pédagogique, des cuisinières et un gardien d’immeuble. Les frais de fonctionnement de l’école reviennent à EUR 3.000 par mois et ils sont pris en charge par des donateurs du Luxembourg.
Construction d’une nouvelle structure:
La sécurité étant un critère important dans le choix de la technique de construction utilisée et la faisabilité dans un temps approprié, nous a convaincu de réaliser une construction en bois. Une entreprise luxembourgeoise (Toitures Rollinger) nous a proposé leur collaboration et leur soutien. Ils proposent des éléments préfabriqués adaptés aux conditions météorologiques et naturelles du pays ainsi qu’à la situation de montage sur place et au transport. Ils se mettent même à disposition pour former des techniciens haïtiens au préalable dans leur entreprise. Par ailleurs ils nous proposent de payer le salaire et les frais de voyage pour deux de leurs techniciens qui monteront la construction sur place.
Bénéficiaires:
200 enfants entre 4 et 15 ans et leurs familles. (Les frais d’écolage sont payés moyennant un système de parrainage)
Le personnel enseignant (9 professeurs, 1 aide-jardinière, un directeur pédagogique, un directeur technique, un gardien, deux cuisinières.)
Les associations locales peuvent profiter de la salle de réunion. (Groupes scoutes, groupement de jeunes, association des artisans locaux, club de football)
La population de la zone Rivière froide; soit environ 400 familles (Cybercafé /bibliothèque)
Coût total du projet: 26'777.84 €
Action pour un Monde Uni: 8'925.95 €
Gouvernement Luxembourgeois: 17'851.89 €
Partenaire local à Haiti: Ecole des Frères Unis de Zilma
Historique de l’école des Frères Unis de Zilma
À Zilma tout a commencé en 1996 quand des membres de la Coopérative Agricole Frères-Unis de Mont-Organisé, en abrégé CAFUMO*, ont décidé de venir en aide aux "enfants de la rue" de Zilma. La coopérative a acheté un terrain pour y construire une tonnelle en paille pour accueillir les enfants. Cette école initialement dénommée "Ecole Frères Unis des Enfants Pauvres de Zilma" fut fondée le 14 novembre 1996 avec au cours des deux premières années une classe d'alphabétisation de 44 enfants.
Ce fût en 2000 qu'un bâtiment en bâtons ronds de bois et toit en tôle comprenant 4 classes a été construit. Cette construction a été financée grâce à l'appui de la paroisse "Immaculate Conception Church (Rév. Père Harry Clacke) de Toronto et une participation à hauteur de 25% par les parents des élèves qui tous sont membres de la Coopérative. Cependant, il est à noter que ces constructions en bâtons de bois ne peuvent être considérées comme des constructions permanentes. Elles ne peuvent résister aux intempéries, assez fortes dans cette région.
Le projet de AMU a été réalisé à Zilma, un village perdu vers la frontière avec la République Dominicaine et sans routes d’accès. Les habitations sont de simples cabanes construites en bois ou en tôle, éparpillées un peu partout.
L’école à Zilma a trouvé ses origines en 1996 quand des membres de la Coopérative Agricole Frères Unis de Mont- Organisé, en abrégé CAFUMO, ont décidé de venir en aide aux enfants de la rue.
Par ce projet, l’école de Zilma a été agrandit par deux salles de classes et par une cuisine équipée. De plus, une alimentation en eau potable a pu être assurée par la mise place d’un système de collecte des eaux de pluie. Le creusement d’un puits, initialement prévu n’a pas pu être réalisé, compte tenu des prix y relatifs qui avaient augmenté et qui dépassaient les budgets disponibles.
Les conditions hygiéniques de l’école ont quand même pu être améliorées de façon que, suite à ce projet le Programme Alimentaire Mondial (P.A.M.) met à disposition la nourriture et l’alimentation pour les enfants de l’école.
Coût total du projet: 12'890.47 €
Contribution du partenaire local: 214.84 €
Action pour un Monde Uni: 4'081.98 €
Gouvernement Luxembourgeois: 8'593.64 €
Partenaire local à Haiti: Ecole des Frères Unis de Zilma
La population de la région de Mont-Organisé provient en grande partie d’une vague d’expulsion de familles haïtiennes établies en République Dominicaine en 1937.
Ces gens ont dû quitter tout. Vu que Mont-Organisé est proche de la frontière dominicaine beaucoup de ces fa- milles se sont installées à cet endroit. Elles sont restées pauvres. D’après l’indice de développement humain des Nations Unies, Haïti se classe 150ième sur les 173 pays recensés.
En 2002, d’après un dossier publié par l’UNESCO sur la lutte contre la pauvreté en Haïti, la pro- portion d’analphabètes est de 55%. La dé cience ali- mentaire, la faiblesse du pouvoir d’achat, de l’encadrement médical et scolaire constituent un lourd handicap au développement socio-économique du pays.
C’était en octobre 1998 que l’école la Sainte Famille a débuté avec un effectif de 80 élèves. L’école compre- nait 2 salles de classes. Deux enseignants en- seignaient sans être ré- munérés et les parents des élèves participaient au fonctionnement de l’école par une contri- bution de 125 gourdes (+/- 3,12 dollars), a n d’acheter des cahiers et
de la craie.
Après 7 ans d’existence, en octobre 2005 et suite à l’acquisition des ter- rains nécessaires on
a construit 6 salles de classes supplémentaires pour l’école « La Sainte Famille ». Aujourd’hui l’école compte 359 élèves. À quatre reprises déjà, des élèves ont parti- cipé à l’examen d’Etat avec une réussite de 81%.
Afin de réduire le nombre d’élèves par classe et de créer un environnement agréable et hygiénique, notre projet prévoit la construction de 2 salles de classes supplé- mentaires avec fabrication locale du mobilier.
Coût total du projet: 203'149.66 €
Action pour un Monde Uni: 67'716.55 €
Gouvernement Luxembourgeois: 135'433.11 €
Partenaire local à Haiti: Ecole des Frères Unis de Zilma
C’est depuis l’année 2006 que l’Action pour un Monde Uni collabore étroitement avec le partenaire « Ecole Frères Unis de Zilma » de Mont-Organisé en Haïti. Deux projets ont été réalisés ensemble en 2006 et en 2007. Même si ces projets ont apporté une amélioration de la situation pour les élèves, les conditions d’apprentissage sont loin d’être favorables pour les élèves. Par ce projet, nous envi- sageons d’offrir une éducation complète aux étudiants de deux écoles.
Même si ces écoles n’ont pas été détruites par le tremble- ment de terre en janvier 2010, on enregistre dans cette ré- gion, comme d’ailleurs dans beaucoup de régions rurales, une augmentation de la population quittant les zones dé- truites par le tremblement de terre.
C’est cette augmentation de la population qui donne en- core plus d’importance et qui nous montre l’urgence de ce projet. Lors d’une rencontre le 15 juin 2009 avec André Weis, notre personne de contact pour les projets en Haïti, nous nous sommes mis d’accord sur un 3e projet avec notre partenaire local à Mont-Organisé en Haïti. André Weis expliquait qu’il manque encore plein de choses pour pouvoir offrir aux enfants des villages de la commune de Mont-Organisé une éducation adéquate.
Ensemble avec le partenaire nous avons développé le projet suivant :
Ecole primaire et maternelle «Sainte Famille»
– Construction de cinq salles de classe
– Construction d’une cuisine
– Installation de quatre toilettes
– Aménagement d’une salle en bibliothèque et centre
informatique
– Fourniture du matériel didactique pour l’enseignement
– Fourniture du matériel pour jeux
– Forage d’un puits
– Mise en place d’une clôture
– Construction et équipement de trois salles de classe, d’un dépôt et d’un bureau pour l’enseignement préscolaire
Ecole primaire «Frères unis de Zilma»
– Construction de quatre salles de classe
– Construction d’une grande salle communautaire
– Construction de trois chambres à coucher
– Fourniture de matériel informatique
– Forage d’un puits
– Mise en place d’une clôture
Suite à l’accord ministériel de décembre 2010, une première avance de paiement a pu être effectuée en février 2011. Les travaux ont été entamés en mars 2011 et avancent très bien, comme le montrent les photos.
Localisation
Le projet est réalisé dans la commune de Mont- Organisé, près de la frontière avec la République Dominicaine. Le département Nord-Est compte environ 280.000 habitants. Il est subdivisé en 4 arrondissements: Fort Liberté, Ouanaminthe, Trou du Nord et Vallières. L’ arrondissement de Ouanaminthe regroupe 3 communes dont Mont- Organisé.
Situation actuelle
Haïti est un pays essentiellement agricole. Cependant, même sur les bons terrains cultivables, les agriculteurs n’arrivent pas à améliorer leur rendement. Souvent il leur manque les techniques ag- ricoles suffisantes, les moyens pour mettre en valeur leurs terres, ainsi que les formations sur la façon d’améliorer leur travail.
Quelques chiffres
A Haïti seulement 60% de la population reçoit un repas par jour.
Aujourd’hui, Haïti doit investir 80% (326 Mio USD) de ses recettes provenant de ses exportations pour réimporter des aliments: 50% de sa consommation en produits laitiers, 75-85% de ses céréales et presque 100% de son sucre et huiles. A cela s’ajoute que plus que 1 million d’haïtiens ont quitté leur terre et leur pays pour chercher un futur meilleur en République Dominicaine.
a) Formation de 150 agriculteurs locaux en cultures de légumes et céréales.
b) Formation « d’agents facilitateurs techniques » afin de transmettre les connaissances aux agriculteurs d’autres communes.
c) Utilisation de techniques appropriées comme l’irrigation pour obtenir une augmentation de la production agricole jusqu’à 30%.
d) Création d'une coopérative visant la commercialisation des produits au niveau régional.
229'319.29 EUR : Budget alloué au projet
152'879.53 EUR : Contribution du Gouvernement luxembourgeois
61'439.76 EUR : Contribution de l’Action pour un Monde Uni asbl
15'000.00 EUR : Contribution locale
Partenaire local à Haiti: PACNE
Cofinancement du Ministère de la Coopération luxembourgeoise selon Accord Cadre de Coopération signé entre le Ministère de la Coopération luxembourgeoise et l’ONG Action pour un Monde Uni en date du 11.01.2018.
Coût total du projet: 115'740.20 €
Action pour un Monde Uni: 38'580.70 €
Gouvernement Luxembourgeois: 77'160.13 €
Partenaire local: Association Civil Nuevo Sol
La population du quartier « Villa Albertina » compte un pourcentage élevé d’enfants et d’adolescents qui passent la plus grande partie de la journée en dehors du temps scolaire à traîner dans les rues, exposés aux problèmes tels que drogues, prostitution, violence…, ou en face de l’autre alternative accessible : contempler un autre monde grâce à la télévision.
Dans cette zone, on ne compte pas de places publiques et les grands espaces libres sont pleins d’ordures. La réalité économique et sociale dans laquelle ces enfants et jeunes vivent les retient de toute alternative recréatrice comme peuvent en profiter ceux d’un autre pouvoir d’achat.
Description du projet à réaliser
Le centre « Esperando Sueños » essaie, à côté des activités de sports, d’encadrer d’avantage les familles. Il y a eu de nombreuses réunions d’information au cours des dernières deux années sur le rôle du soutien familial ainsi que le rôle maternel et paternel. Les ateliers sur le thème des « limites dans la famille» ont été parmi les plus visités. La violence dans le sport et les alternatives pour résoudre les conflits sans violence est un sujet souvent abordé dans les réunions de discussion. De plus, le centre a organisé des ateliers d’information sur des sujets de santé spécifiques, tels que: la prévention de drogues, les bonnes habitudes alimentaires,… Le centre essaie aussi de relancer les discussions avec les écoles de la zone afin de réintégrer des adolescents, ayant abandonné leurs études, dans l’enseignement.
Coût total du projet: 183'509.33 €
Action pour un Monde Uni: 61'169.78 €
Gouvernement Luxembourgeois: 122'339.55 €
Objectif global:
Contribuer au développement socio-économique de la région de Catamarca par l'augmentation de l'espace pour l'enseignement dans les locaux existants et la construction d'ateliers pour le tissage, la céramique et le travail du métal. Favoriser ainsi l'insertion sociale des jeunes et des femmes en leur offrant des possibilités de formation et d'emploi.
Objectif spécifique:
Beaucoup de familles vivant dans des régions rurales proches de la Cordillère des Andes dans le département de Santa Maria risquent la marginalisation sociale due au processus de globalisation mondiale. Ce projet offre, par la création de locaux supplémentaires au sein de l'école "Aurora" à Santa Maria, aux jeunes l'opportunité de se former et d'apprendre un métier dans le domaine de l'artisanat traditionnel et de préserver ainsi les techniques ancestrales. L'école "Aurora" à Santa Maria est actuellement la 1ère institution en Argentine et la 2è en Amérique latine à protéger la culture ancestrale qui pour beaucoup de personnes représente un moyen de survie.
Coût total du projet: 436'864.88 €
Contribution du partenaire local: 18'400 €
Action pour un Monde Uni: 120'166.52 €
Gouvernement Luxembourgeois: 277'133.04 €
Objectif global:
Créer d’avantage d’opportunités d’enseignement pour les enfants et jeunes de la région de Vargem Grande Paulista.
Construction d'un bâtiment destiné au Centre Educatif "Aurora" sur un terrain d'une superficie de 121.000 m2 situé dans la Municipalité de Vargem Grande Paulista, Commune de Cotia, Etat de Sao Paulo.
Objectif spécifique:
Rendre disponible l’infrastructure nécessaire qui va du préscolaire à l’enseignement primaire et à l’enseignement moyen par la construction d’un bâtiment devant servir de Centre Educatif afin - d’adapter les salles de classe aux normes nationales en vigueur ; - d’améliorer les conditions dans lesquelles l’enseignement se fait ceci en application du décret-loi précisant les normes de promotion, de protection et de recouvrement de la santé dans le cadre des compétences du Secrétariat d'Etat à la Santé du Brésil ; - de regrouper les 13 classes d’élèves dispersées dans différentes maisons particulières louées ; - d’augmenter la capacité et le nombre de salles de classe afin de pouvoir offrir un enseignement à un plus grand nombre d’élèves, un cycle complet d’un enseignement moyen et d’éviter aux jeunes de devoir se déplacer à plus de 150 km.
Coût total du projet: 60'000 €
Action pour un Monde Uni: 20'000 €
Gouvernement Luxembourgeois: 40'000 €
L'école "Jardin Feliz" qui fonctionne avec l'autorisation du Ministère de l'Education comprend à ce jour 7 salles de classe dont 5 pour les cinq premières années de l'enseignement primaire et 2 salles pour le préscolaire. L'école existe depuis 9 ans et occupe actuellement sept enseignants et quatre chargés de cours (éducation physique, musique, etc.) pour un total de 176 enfants.
"Jardin Feliz" accueille des enfants de familles à peu de revenu qui ne participent qu'à raison de 40% aux frais de l'école – principalement pour l'alimentation. Les autres 60% de fonctionnement sont assumés par l'école grâce à des subventions et dons ainsi que la vente d'articles de boulangerie et de pâtisserie.
L'objectif du projet est de garantir aux enfants une croissance intégrale par une alimentation complémentaire comprenant petit-déjeuner et rafraîchissements. Ceci ne peut se faire que dans des conditions hygiéniques, raison pour laquelle la construction d'un réfectoire et d'une cuisine équipée est requise.
Coût total du projet: 144'994.90 €
Action pour un Monde Uni: 48'331.63 €
Gouvernement Luxembourgeois: 96'663.27 €
Les objectifs du projet:
Redonner une dignité sociale aux personnes du quartier à travers une éducation de valeurs basée sur la fraternité et la solidarité et améliorer les perspectives professionnelles des adolescents du quartier pauvre « Barrio Borro ».
Soutenir les adolescents à ne pas abandonner leurs études.
Enseigner aux adolescents des valeurs sociales et humaines à travers des cours et des ateliers.
Offrir aux adolescents des formations professionnelles afin de leur permettre de trouver un emploi par après.
Les activités:
Offrir des formations en étiques sociales, droits des adolescents, la santé et le bien-être, la culture uruguayenne, le civisme,…Lancer un programme de formation en gastronomie en collaboration avec l’Université du travail d’Uruguay. Construire un local pour assurer un bon déroulement de l’atelier de travaux manuels et pour tenir les cours de formation mentionnés ci-dessus.
Les bénéficiaires:
Les bénéficiaires du projet sont les adolescents qui fréquentent le « Centro Juvenil » Le nombre des bénéficiaires directs sont les 62 jeunes qui participent actuellement aux activités du « Centro Juvenil ». Sur une période de projet estimée à 3 ans, +/- 120 jeunes peuvent profiter directement de ce projet. Les bénéficiaires indirectes sont estimés à 480 personnes de l’entourage familial des jeunes.
La situation des jeunes au quartier Barrio Borro:
La situation que vivent les jeunes du quartier « Barrio borro » est très difficile et laisse peu de place à l’imagination d’un future meilleur.
La plupart des jeunes ont abandonné leurs études, même si des études jusqu’à la troisième année secondaire sont obligatoires. Ceux qui fréquentent encore l’école le font de manière très irrégulière.
En ce qui concerne les jeunes filles, il est tout à fait normal d’être enceinte pour la première fois avant d’avoir accompli les 18 ans. Souvent une femme se retrouve avec 5 ou 6 enfants, seule à la maison et il est commun que les plus aînées restent à la maison pour veiller sur les plus petits. Les garçons sont obligés d’aider à soutenir la famille. Ainsi, dans la plupart des cas, les jeunes se mettent, comme le père, à vider les poubelles pendant la nuit à Montevideo pour trouver quelque chose à manger ou des matériaux destinés au recyclage.
Ainsi les jeunes n’ont aucun apport de la part de leurs parents pour continuer leurs études.
Il faut d’ailleurs soulever que les jeunes qui recherchent un travail, souvent ne trouvent aucun employeur qui leur donne une vraie chance.
Cette situation pousse les jeunes rapidement à devenir de plus en plus inactifs et à traîner dans les rues, exposés aux problèmes tels que drogues, prostitution, violence. Pour interrompre ce cercle vicieux et pour changer à la base la situation des jeunes gens du quartier, il est important de leurs montrer d’autres perspectives et de leurs enseigner des valeurs qu’ils ont perdues au cours de générations. De plus, il est primordial de leurs offrir la possibilité d’apprendre une profession digne, autre que fouiller les poubelles.
Coût total du projet: 325'870.25 €
Contribution AMIZERO Lux: 108'623.41 €
Gouvernement Luxembourgeois: 217'246.83 €
Partenaire local: Turere Ibibondo asbl
Projet réalisé en partenariat entre AMU et AMIZERO-LUX.
Situation de départ:
Le Centre scolaire compte actuellement 17 salles (dont 15 sont utilisées comme salle de classe, une salle abrite le bureau du directeur et le secrétariat et une autre abrite une petite infirmerie pour fillettes) et est confronté à un nombre d'élèves en croissance permanente.
L’école dispose de trop peu de salles de classe pour offrir aux élèves un environnement d’apprentissage adéquat. Le matériel didactique nécessaire pour assurer un bon fonctionnement des cours fait souvent défaut. Il est constaté qu’un certain nombre d’élèves souffrent de malnutrition. Des absences prolongées d’élèves sont dues à des problèmes de santé. Il n’y a aucun suivi professionnel des élèves et de leur famille en cas d’absence scolaire prolongée, p.ex. un suivi psychologique pour des problèmes dus aux suites du génocide.
A Ruhango il n'y a pour l'instant pas de poste d'accès à l’Internet fiable, le premier point d’accès de ce genre se trouvant à Gitarama c'est-à-dire à env. 25 km;
Solutions retenues :
Doter l’école d’infrastructures adéquates : construction de deux salles de classe supplémentaires, d’un bureau de direction avec secrétariat et d’une infirmerie (pour exercer la prévention et l’éducation en hygiène, en nutrition et l’éducation sexuelle, en cas de besoin orientation des enfants vers des centres de santé).
Doter l’école du personnel enseignant requis respectant les normes de l’éducation et de l'hygiène.
Diminuer l’effectif des enfants en classe à un maximum de 36 enfants
Résoudre le problème de malnutrition dont souffrent un certain nombre d'élèves par l'intégration dans le projet d'une cantine scolaire d'une part et d'une infirmerie pour le conseil en matière de nutrition, de prévention et de traitement de certaines maladies (p.ex. le paludisme).
Mettre en place du personnel supplémentaire (infirmier, agent social).
Doter le Centre Scolaire Amizero d’un centre de rencontre disposant d’un point d’accès Internet, d’une bibliothèque, d’une salle de réunion et d’une salle de projection (coûts et devis en annexe). Ce centre de rencontre pourrait être fréquenté par la population locale et contribuerait à l’information et à l’éducation des adultes. De plus, la communication entre la communauté locale et la communauté luxembourgeoise serait facilitée.
Soutenir financièrement l’association TURERE IBIBONDO pour couvrir en partie les frais de fonctionnement pendant une certaine période, pendant qu’elle se prépare à long terme à assurer elle-même une plus grande partie du financement et la gestion de l’école (par le biais de contributions des parents d’élèves, de cotisations des membres, de recettes de locations des locaux et de matériel informatique et musical, ainsi que de cours informatiques).
Coût total du projet: 155'989.77 €
Partenaire local (CODEK): terrain construction €
Action pour un Monde Uni: 51'996.59 €
Gouvernement Luxembourgeois: 103'993.18 €
Le village de Kosmadji 1 est situé dans une localité très enclavée et présente un des taux de scolarisation des plus faibles du pays, ceci du fait de la non existence des moindres infrastructures adéquates. Ceci vaut également pour les villages des environs qui sont Kosmadji 2, Bila, Woueha piste, Kap, Koumba Mbang, Mbeque, Mbang 1, Mbang 2 et Bika. La population totale de ces dix villages ciblés est évaluée é 20'000 habitants.
Toutes ces populations sont bien en dessous du seuil de pauvreté (moins de 0,50 EUR par jour et par habitant). Elles vivent essentiellement des produits d'une agriculture artisanale et de la chasse. L'espérance de vie est très faible, la tranche d'âge juvénile représente 70% de la population locale.
Environ 600 enfants âgés de 4 à 15 ans de la localité de Kosmadji 1 et des neuf autres villages pourront profiter de la construction d'une nouvelle école primaire prévue par l'Action pour un Monde Uni.
Coût total du projet: 567'925.76 €
Contribution locale: 15'015.01 €
Action pour un Monde Uni: 174'293.58 €
Gouvernement Luxembourgeois: 378'617.17 €
Projet d'électrification en 2007:
Les problèmes dont le village Nyakaiga et les environs sont confrontés consistent dans le fait que non seulement les indigènes, mais également l‘hôpital pour toute la région, l‘église, l’école secondaire et primaires sont privées d‘électricité suffisante et doivent survivre avec un approvisionnement très limité en eau propre.
Les habitants de la région Bushangaro vivent principalement de l’agriculture et dépendent de ce qu’ils produisent. Par conséquent, ils dépendent fortement de la disponibilité en eau. Durant les périodes de pluie, les gens produisent beaucoup de fruits et de légumes. Or, comme ils ne disposent ni des installations techniques, ni des connaissances nécessaires, ils ne savent conserver leurs produits que pour une période de temps très limitée.
Afin de mieux comprendre la situation dont le village Nyakaiga est confronté, une délégation, qui se composait d’un spécialiste en énergie solaire et d’un consultant économique, mandatée par AMU se sont rendus sur place en avril 2006. Lors de cette première prise de contact, il nous a déjà été confirmé de la part de notre partenaire local, qu’un développement de cette région dépendrait entièrement de l’existence d’un approvisionnement en électricité et en eau, ainsi que de moyens de communication modernes.
Le projet vise une augmentation du niveau de vie de la population et un développement économique de la région de Bushangaro. Le but principal de ce projet est d’assurer une alimentation en eau et en électricité de la région. Cette mise à disposition des nouvelles ressources peut être un catalyseur qui permet à toute une région de devenir un point d’attraction fort pour le commerce, une agriculture plus moderne, l’artisanat et pour un niveau de formation plus élevé.
Alimentation indépendante de 70 bâtiments par de l’énergie électrique à l‘aide de 4 installations d‘énergie solaire.
Équipement de l’hôpital, du ‘convent center’ et de l’école Nyabionza de réfrigérateurs permettant de conserver des aliments, des médicaments, des vaccins et des conserves de sang. Forage de 4 puits et mise à disposition d’eau propre à la population. Adaptation des moyens de communication.
Culture de plantes à récupération d‘huile alimentaire ainsi que d‘huile à utilisation alternative au diesel conventionnel pour les générateurs d‘électricité. Mise à disposition d‘un pressoir d’huile.
Formation d’une équipe de techniciens locaux afin de garantir une bonne maintenance des installations techniques. Enseignement à la population une utilisation respectueuse des nouvelles ressources.
Les bénéficiaires:
Les bénéficiaires de ce projet sont +/- 5000 personnes de la région immédiate (5 Km).
Les enfants et les jeunes de la région de Bushangaro qui, à travers ce projet profitent d’une augmentation du niveau d’éducation.
Les jeunes qui ne doivent plus fuir la région pour trouver une vie meilleure et un futur offrant de nouvelles perspectives.
Les habitants de la région de Bushangaro qui ne doivent plus amener de l’eau sur une distance de 10 Km chaque jour. Les habitants qui ne sont plus obligés de voyager plus de 100 Km au prochain hôpital pour se faire soigner.
Les habitants qui profitent d’un développement économique de la région.
Les habitants de la région qui travaillent dans l’agriculture profitent d’une modernisation du secteur.
Les futures soeurs qui profitent d’une augmentation du niveau de formation.
Coût total du projet: 228'248.29 €
Action pour un Monde Uni: 76'082.77 €
Gouvernement Luxembourgeois: 152'165.52 €
Lokaler Partner: The Apostles of Unlimited Love Sisters
Depuis 2008, le projet d’énergie solaire assure l‘approvisionnement en énergie électrique pour la clinique à Nyakaiga. Il serait difficile de s‘imaginer encore aujourd‘hui un hôpital qui fonctionne sans énergie électrique. Le village par contre a dû être coupé de l‘alimentation pendant une certaine période. La consommation par les villageois avait dépassé la production en énergie solaire. Des limitations à plusieurs niveaux s‘avéraient nécessaires.
Ces mesures sont opérationnelles depuis une année et l‘équilibre entre consommation et production a pu être rétabli. Cette coupure en électricité était une expérience importante pour le village, qui a beaucoup contribué à une utilisation plus rationnelle de l‘énergie solaire. Les habitants ont finalement compris qu‘il s‘agit d‘une énergie non disponible de manière illimitée.
L’année passée fut donc une année très im- portante pour le projet de l’énergie solaire à Nyakaiga. De plus, cette deuxième phase du projet à Nyakaiga était marquée par la collaboration avec le nouveau partenaire local, à savoir le Diocèse de Kayanga. Cette collaboration avait été mise en place par le bureau de développement du Diocèse «KADDRO» qui est situé à Kayanga et qui dispose d’une bonne expérience de coordination et de suivi de projets d’aide au développement dans toute la région.
Depuis l‘année passée, deux missions sur place ont été accomplies par une délégation de l‘AMU. L‘objectif était de s‘assurer du bon fonctionnement de l‘installation depuis le lancement de la deuxième phase. Une prochaine visite est programmée pour décembre 2014. Cette mission aura comme but d‘analyser le fonctionne- ment de la clinique.
Une demande de la part des responsables de la clinique nous a été adressée afin de coopérer sur une amélioration de la gestion de cet hôpital.
Lagerhalle in Kandegesho
Die meisten Menschen in den ländlichen Regionen leben von der Landwirtschaft, genauer genommen vom Ackerbau. Der normale Bauer besitzt nur sehr wenig Fläche. In der Regel ist es so, dass der Bauer nach der Ernte seine Erträge verkauft. Es gibt oft keine Möglichkeiten zur Lagerung der Ernte. Natür- lich fallen die Preise, wenn alle Bauern zur Ernte- zeit auf die Märkte drängen, um ihre Produkte zu verkaufen.
Die AMU hat, auf Anfrage eines lokalen Partners in Kandegesho eine Lagerhalle (36.000 €) gebaut. Das Projekt konnte Anfang dieses Jahres fertiggestellt werden. Wir haben uns mit einigen Landwirten aus der Region um Kandegesho getroffen und uns ihre Meinung zum Projekt angehört. Die Bauern sind sehr dankbar für die Lagerhalle. Sie haben uns bestätigt, dass wenn sie ihre Ernte nur 3 Monate später verkaufen, sie den doppelten bis dreifachen Preis erzielen können.
Eine Ackerbaufirma hat sich in der Region um Kandegesho niedergelassen, weil der Boden dort sehr fruchtbar ist. Diese Firma hat circa 60 ha Land,
das der Diözese gehört, dort gepachtet. Zu Beginn waren wir etwas besorgt, dass die Firma die lokalen Landwirte vertreiben oder ihr Land in Besitz nehmen könnte.
Die Preise könnten ebenfalls durch große Getreideanbieter noch stärker beeinflusst werden. Es hat sich aber herausgestellt, dass auch diese Ackerbaufirma die Lagerhalle nutzt wodurch die Zusammenarbeit mit den Landwirten verstärkt wurde. Das Gleiche hat diese Firma auch schon in anderen Teilen Tansanias unter Beweis gestellt.
Das bedeutet, die lokalen Bauern bewirtschaften weiter ihre Felder, zusätzlich können sie bei der Firma arbeiten und sich etwas hinzuverdienen. Ein weiterer Vorteil, von dem die Landwirte uns erzählt haben, ist, dass sie durch die Kooperation Zugang zu neuem Saatgut haben.
Coût total du projet: 262'003.29 €
Action pour un Monde Uni: 87'334.43 €
Gouvernement Luxembourgeois: 174'668.86 €
Partenaire local: KADDRO - Diocèse catholique de Kayanga
Le projet prévoit une mise en
place d’une alimentation en eau par un système de pompage pour un village, un hôpital et une école secondaire.
Ensemble avec les responsables du Diocèse, qui est partenaire dans ce projet ambitieux, l’entrepreneur chargé par la mise en œuvre, nous avons visité pendant une matinée les travaux déjà effectués.
L’entrepreneur fournissait les explications détaillées et nécessaires afin de bien comprendre le pro- jet en soi. De nouveaux bassins de rétention d’eau étaient en construction. Un accès séparé sera aménagé pour la population locale qui doit toujours pouvoir venir prendre de l’eau à la source.
Ce sont surtout des familles qui se sont installées dans les environs des 3 sources « Kabindi ». De plus, un accès séparé pour le bétail sera aménagé afin d’éviter toute contamination de l’eau par des animaux. Aux différents points de distribution de l’eau (clinique, village et école) on devrait installer un panneau disant qu’il s’agit d’eau de source naturelle.
Il nous semblait important de ne pas installer de filtres à eau. Le jour arrivera où quelqu’un oubliera de remplacer les filtres et si alors les gens ne font pas bouillir l’eau, ils peuvent devenir gravement malades. Voilà pourquoi nous essayons de changer le moins possible les habitudes des personnes.
La région Karagwe en Tanzanie a vécu plus d’une année sans qu’il ne pleuve suffisamment, ce qui commençait à avoir des conséquences assez graves pour la population, les agricultures et l’alimentation de la population. Mais malgré cette sécheresse les 3 sources «Kabindi» présentent toujours un débit assez important, presque inchangé, ce qui nous assure que nos calculs et estimations ont été corrects et qu’il s’agit d’une source avec un débit en eau assez stable.
Coût total du projet: 262'003.29 €
Action pour un Monde Uni: 87'334.43 €
Gouvernement Luxembourgeois: 174'668.86 €
Partenaire local: KADDRO - Diocèse catholique de Kayanga
Le projet prévoit une mise en
place d’une alimentation en eau par un système de pompage pour un village, un hôpital et une école secondaire.
Ensemble avec les responsables du Diocèse, qui est partenaire dans ce projet ambitieux, l’entrepreneur chargé par la mise en œuvre, nous avons visité pendant une matinée les travaux déjà effectués.
L’entrepreneur fournissait les explications détaillées et nécessaires afin de bien comprendre le pro- jet en soi. De nouveaux bassins de rétention d’eau étaient en construction. Un accès séparé sera aménagé pour la population locale qui doit toujours pouvoir venir prendre de l’eau à la source.
Ce sont surtout des familles qui se sont installées dans les environs des 3 sources « Kabindi ». De plus, un accès séparé pour le bétail sera aménagé afin d’éviter toute contamination de l’eau par des animaux. Aux différents points de distribution de l’eau (clinique, village et école) on devrait installer un panneau disant qu’il s’agit d’eau de source naturelle.
Il nous semblait important de ne pas installer de filtres à eau. Le jour arrivera où quelqu’un oubliera de remplacer les filtres et si alors les gens ne font pas bouillir l’eau, ils peuvent devenir gravement malades. Voilà pourquoi nous essayons de changer le moins possible les habitudes des personnes.
La région Karagwe en Tanzanie a vécu plus d’une année sans qu’il ne pleuve suffisamment, ce qui commençait à avoir des conséquences assez graves pour la population, les agricultures et l’alimentation de la population. Mais malgré cette sécheresse les 3 sources «Kabindi» présentent toujours un débit assez important, presque inchangé, ce qui nous assure que nos calculs et estimations ont été corrects et qu’il s’agit d’une source avec un débit en eau assez stable.
Localisation
Le projet est réalisé dans la commune de Mont- Organisé, près de la frontière avec la République Dominicaine. Le département Nord-Est compte environ 280.000 habitants. Il est subdivisé en 4 arrondissements: Fort Liberté, Ouanaminthe, Trou du Nord et Vallières. L’ arrondissement de Ouanaminthe regroupe 3 communes dont Mont- Organisé.
Situation actuelle
Haïti est un pays essentiellement agricole. Cependant, même sur les bons terrains cultivables, les agriculteurs n’arrivent pas à améliorer leur rendement. Souvent il leur manque les techniques ag- ricoles suffisantes, les moyens pour mettre en valeur leurs terres, ainsi que les formations sur la façon d’améliorer leur travail.
Quelques chiffres
A Haïti seulement 60% de la population reçoit un repas par jour.
Aujourd’hui, Haïti doit investir 80% (326 Mio USD) de ses recettes provenant de ses exportations pour réimporter des aliments: 50% de sa consommation en produits laitiers, 75-85% de ses céréales et presque 100% de son sucre et huiles. A cela s’ajoute que plus que 1 million d’haïtiens ont quitté leur terre et leur pays pour chercher un futur meilleur en République Dominicaine.
a) Formation de 150 agriculteurs locaux en cultures de légumes et céréales.
b) Formation « d’agents facilitateurs techniques » afin de transmettre les connaissances aux agriculteurs d’autres communes.
c) Utilisation de techniques appropriées comme l’irrigation pour obtenir une augmentation de la production agricole jusqu’à 30%.
d) Création d'une coopérative visant la commercialisation des produits au niveau régional.
229'319.29 EUR : Budget alloué au projet
152'879.53 EUR : Contribution du Gouvernement luxembourgeois
61'439.76 EUR : Contribution de l’Action pour un Monde Uni asbl
15'000.00 EUR : Contribution locale
Partenaire local à Haiti: PACNE
Cofinancement du Ministère de la Coopération luxembourgeoise selon Accord Cadre de Coopération signé entre le Ministère de la Coopération luxembourgeoise et l’ONG Action pour un Monde Uni en date du 11.01.2018.
Localisation
Le projet se réalise en République Démocratique du Congo, dans la Province du Kwilu, territoire de Bulungu au village Kikoti, situé à environ 500 km à l’Est de Kinshasa. Les habitants du village de Kikoti vivent principalement d’une agriculture primitive et simple.
Situation actuelle
La vie au village de Kikoti n’est pas facile: Les gens n’ont pas d’accès à l’eau potable, ni au réseau publique d’ électricité. Il y a peu de commerces, peu d’ infrastructures publiques et de moyens de transport disponibles. Les techniques agricoles ainsi que les techniques de séchage du manioc ne sont pas appropriées. Les distances à parcourir jusqu’ au prochain moulin à manioc et au maïs sont énormes.
Quelques informations
Le village de Kikoti s’étend sur une superficie de 25 km2 avec une population d’environ 42.000 habitants. De nombreuses personnes, n’ayant pas trouvé d’emploi dans la région, se sont installées dans cette périphérie. Les quelques écoles existantes du village sont souvent non accessibles pour les enfants les plus démunis. Les salles de classe se trouvent souvent dans des bâtiments rudimentaires sans l’infrastructure indispensable tels que des pupitres et chaises.
Description du projet (download FLYER)
- Construction et équipement de 6 salles de classe avec les installations sanitaires adéquates.
- Formation aux nouvelles techniques agricoles de 250 villageois.
- Cours en agriculture pour 450 élèves.
- Installation d’un séchoir pour le manioc et d’un moulin à manioc et au maïs.
450 élèves profiteront des salles de classe et des installations sanitaires.
250 agriculteurs apprendront les nouvelles techniques de culture et de séchage.
5.250 villageois peuvent faire sécher les cossettes de manioc au séchoir.
5.250 villageois utiliseront le moulin pour moudre le manioc et le maïs.
309'630.35 EUR : Budget alloué au projet
206'420.23 EUR : Contribution du Gouvernement luxembourgeois
103'210.12 EUR : Contribution de l’Action pour un Monde Uni asbl
Partenaire local en RDC : AECOM.
Cofinancement du Ministère de la Coopération luxembourgeoise selon Accord Cadre de Coopération signé entre le Ministère de la Coopération luxembourgeoise et l’ONG Action pour un Monde Uni en date du 11.01.2018
Localisation
Le projet est réalisé dans la région de la Mata Norte du Pernambouc, près de Recife, au nord-est du Brésil. L’Etat de Pernambouc compte environ 9 millions d’habitants et a une superficie similaire à celle du Portugal. Lors de la colonisation au 17ème siècle, le Brésil était le premier producteur mondial de sucre. La majorité de ce sucre était cultivé sur les terres fertiles de Pernambouc.
Situation actuelle
Aujourd’hui, le secteur économique de la Mata Norte est prédominé par la canne à sucre et par la production d’alcool pour les moteurs à « pétrole vert ». La région connaît un système dans lequel la majorité des terres appartiennent aux grands propriétaires fonciers. Au cours des dernières années, des conflits agraires et des luttes pour la libération des terres rurales ont mené à une réforme agraire.
D’un côté, des familles paysannes ont obtenu accès à des terres suite à cette réforme agraire, mais ils font maintenant face à des problèmes pour satisfaire leurs besoins économiques quotidiens et pour cultiver des aliments sains et durables. De l’autre côté, de nombreuses terres restent dans les mains des usines de canne à sucre qui continuent la monoculture. Ce modèle entraîne l’utilisation de produits agrochimiques, la dégradation de l’environnement et l’exploitation du travail.
Objectifs
Face à ce modèle de monoculture, il est nécessaire d’offrir des formations pratiques aux familles paysannes dans une agriculture alternative. L’objectif est d'élargir les connaissances des paysans en matière d’une production plus écologique. Le Brésil est actuellement considéré comme le plus grand consommateur de produits agrochimiques au monde.
Description du projet (download Flyer)
Le projet vise à améliorer la qualité de vie des familles paysannes en les sensibilisant par rapport à la nécessité de changer la matrice productive. L’introduction d’une agriculture plus écologique dans les unités de production familiales favorise l'équilibre environnemental et une diversification des cultures. Un but fondamental de ce projet est la transmission des connaissances acquises à d'autres familles et surtout à la prochaine génération.
314'547.86 EUR : Budget alloué au projet
232'765.41 EUR : Contribution du Gouvernement luxembourgeois
81'782.45 EUR : Contribution de l’Action pour un Monde Uni asbl
Partenaire local au Brésil: CPT- Comissão Pastoral da Terre
Cofinancement du Ministère de la Coopération luxembourgeoise selon Accord Cadre de Coopération signé entre le Ministère de la Coopération luxembourgeoise et l’ONG Action pour un Monde Uni en date du 11.01.2018.
30.10.2020 Plácido Junior and Renata Albuquerque, Pastoral Agent of the NE2 Pastoral Land Commission.
Le Brésil a été l'un des pays les plus touchés par la nouvelle pandémie du coronavirus dans le monde. Selon les chiffres du ministère de la santé, le pays compte plus de cinq millions de personnes infectées et plus de 150 000 décès dus à la maladie. Ceci place le Brésil en quatrième position en termes de contamination par habitant sur la planète. Les mesures prises par le gouvernement pour lutter contre le Covid-19 n'ont malheureusement pas permis d'atténuer les conséquences de la pandémie sur la santé de la population brésilienne. Pendant quatre mois - de juin à septembre - le ministère de la santé a été sans ministre, ce qui a nui au dialogue avec la société et a révélé le mépris avec lequel la question de la lutte contre le coronavirus a été traitée par le gouvernement.
Les effets de la pandémie ont aggravé la crise économique au Brésil, touchant principalement la classe ouvrière la plus démunie. Selon les données de l'Institut brésilien de géographie et de statistique (IBGE), le taux de chômage a atteint 14,3 % en août. L'année dernière, le taux de chômage moyen dans le pays était de 11,9 %, selon les données de l'Institut. Au lieu de mettre en œuvre des mesures pour combattre la crise sociale au Brésil, le gouvernement brésilien a annoncé une réduction de 50% de l'aide d'urgence à la population à faible revenu du pays. Le montant de l'aide s'élève désormais à 300 R$ (300 dollars américains) par mois, ce qui est inférieur à la valeur d'un panier alimentaire de base qui coûte en moyenne 400 R$ (400 dollars américains), selon le Département des statistiques et des études socio-économiques (DIEESE).
Ces mesures renforcent les injustices et les inégalités sociales qui existent déjà au Brésil et réduisent le pouvoir d'achat de la population, même pour les biens de base et fondamentaux de la vie, comme la nourriture. Les familles accompagnées par CPT disent qu'elles ont déjà le sentiment que l'on achète moins de nourriture provenant de l'agriculture paysanne. Elles sont donc confrontées à la difficulté de vendre tous leurs produits, ce qui leur laisse d'énormes défis économiques. Le cycle de l'inégalité et de l'appauvrissement prend donc un nouvel élan dans le pays.
Pour relever le défi, certaines initiatives sont mises en avant. Parmi celles-ci, il y a la solidarité internationale qui nous permet d'acheter une partie de la nourriture produite au nord du Pernambouc, et de la distribuer aux populations à faibles revenus et aux populations de la rue. Ce geste a été fait par l'organisation luxembourgeoise, amie et partenaire de CPT, AMU - Action pour un Monde Uni. Certaines familles paysannes de la région ont également eu recours à la technologie, commercialisant leurs produits par le biais d'Internet, malgré les difficultés et les limites de connexion rencontrées dans la zone rurale. De plus, la pratique du marketing de circuit court a été renforcée avec la vente ou l'échange de nourriture entre membres d'une même communauté ou entre communautés voisines. Ces gestes de solidarité, l'organisation de la communauté et une production alimentaire riche et saine sont quelques-uns des éléments qui aident les familles d'agriculteurs de Mata Norte à surmonter cette pandémie.
Localisation
Le projet se réalise à Kagera au Nord-Ouest de la Tanzanie, tout près du Lac Victoria. Cette région est une des plus pauvre du pays.
Situation actuelle
En Tanzanie, les femmes doivent faire face à de nombreux oppressions et défis. Souvent elles n’ont pas le même accès aux études et au marché du travail que les hommes. Par conséquent, elles sont moins informées sur leurs droits et sur leur santé. D’ailleurs, les femmes sont souvent forcées dans des mariages ou vivent dans des mariages polygames. Le taux de violence domestique est élevé et les femmes divorcées subissent des stigmatisations dans leur communauté. Les femmes sont souvent sensées se soumettre aux hommes ce qui peut mener à des manques de confiance en soi-même.
Quelques chiffres
Selon l’ONU FEMMES (2018), 2 femmes sur 5 en Tanzanie ont subi des violences physiques et 1 femme sur 10 est victime de violences sexuelles. La situation difficile des femmes a comme résultat une féminisation de la pauvreté. Forcées par le manque d’opportunité, beaucoup de femmes se retrouvent comme prostitués. Les femmes ont besoin d’une plateforme pour s’échanger et pour élaborer des solutions en commun.
Description du projet (download Flyer)
- Mobiliser, sensibiliser et fortifier les femmes afin qu’elles aient plus de confiance en elles-mêmes et qu’elles commencent des projets générateurs de revenus.
- Raviver l’espoir perdu pour les femmes victimes de violence, les femmes divorcées, malades, sans emploi, etc.
- Minimiser la dépendance des femmes à l’égard des hommes en les sensibilisant sur l’égalité des sexes.
- Former les femmes en matière de droits, en connaissances d’entrepreneuriat et en économie.
- Supporter les femmes dans la recherche d’emplois.
23'100.00 EUR : Budget alloué au projet
17'094.00 EUR : Contribution du Gouvernement luxembourgeois
6'006.00 EUR : Contribution de l’Action pour un Monde Uni asbl
Partenaire local en Tanzanie: Sisters of St. Therese of the Child Jesus.
Cofinancement du Ministère de la Coopération luxembourgeoise selon Accord Cadre de Coopération signé entre le Ministère de la Coopération luxembourgeoise et l’ONG Action pour un Monde Uni en date du 11.01.2018.
Situation actuelle
De 2015 à 2018, AMU a soutenu des organisations en Amérique latine, opérant dans le secteur social, par une formation technique, organisationnelle et financière. Le but était de renforcer les structures et les capacités professionnelles de ces organisations. 9 organisations ont été retenues pour un deuxième projet visant maintenant une mise en pratique des connaissances acquises.
Le projet soutient 7 organisations en Argentine et 2 en Bolivie. Suite aux formations reçues lors du premier projet, les 9 organisations sont soutenues dans la préparation de propositions de projets, destinées à des bailleurs de fonds nationaux et internationaux. Les activités planifiées sont :
- Formation en capacités de gestion
- Soutien pour la formulation de 9 propositions de projets qui seront effectués par AMU
- Soutien pour la formulation de 6 propositions de projets supplémentaires qui seront financées par d’autres bailleurs de fonds
- Formation pour les suivis et évaluations
Organisations et projets soutenus
En Argentine :
1. Siluva (La Plata) : Activités d’hydrothérapie pour personnes handicapées
2. Proarva/Escuels Aurora (Catamarca) : Enseignement de métiers traditionnels et commercialisation de produits artisanaux
3. Por Igual Más (Córdoba) : Séminaires sur les droits des enfants handicapés dans des écoles primaires et secondaires
4. Centro de Atención al Migrante (La Matanza) : Formation sur la protection des droits de travail des migrants auprès des chefs communautaires
5. Asociación Civil Nuevos Signos (Punta Alta) : Ateliers sur la prévention de l’abus sexuel des enfants dans 8 centres éducatifs
6. Fundación Lucía (Tucumán) : Inclusion éducative par le biais d'activités sportives
7. Se Trata de nosotros (Salta) : Atelier de prévention sur le trafic de personnes et sur l’exploitation dans des écoles
En Bolivie:
8. UNISOL (Santa Cruz) : Systématisation du modèle éducatif et de la formation des enseignants
9. Casa de los Niños (Cochabamba) : Amélioration des structures éducatives de l’école Arcoris de Paz
Description du projet (download Flyer)
UNISOL a pour objectif de promouvoir le développement intégral des personnes défavorisées en Bolivie, à travers la création et le soutien de différents projets culturels, sociaux et économiques. L’organisation soutient plus de 150 enfants et jeunes à travers le pays dans les domaines de la santé et de l’éducation. UNISOL fonctionne à travers deux centres. Clara Luz (Santa Cruz de la Sierra) et Rincón de Luz (Cochabamba). Ce dernier établissement offre un appui scolaire à plus de 70 enfants et possède aussi un fonds qui soutient les efforts de petites entreprises dans la création de travaux respectant la dignité des personnes.
L’ association Casa de los Niños accueille dans son centre plus de 400 enfants et adultes avec des besoins particuliers. L’association dispose également d’un centre éducatif appelée Arcoiris de Paz (Arc-en-ciel dem Paix), une boulangerie et une cuisine. Ses buts principaux sont les suivants: faciliter l’accès aux soins de santé pour des familles; réinsérer des personnes handicapées, des enfants malades ou abandonnés dans leurs familles; assurer le droit à l’éducation; prévenir l’abandon des enfants par des programmes de soutien à la famille.
APADIS travaille avec des personnes handicapées et base son travail sur le modèle social des Droits de l’Homme. L’association a été créée pour contribuer à l’importance d’intégration de personnes handicapées dans le processus du travail, en particulier pour des personnes vivant dans des conditions d’extrême pauvreté. Aujourd’hui, l’ONG dispose d’un atelier qui offre des possibilités de travail pour les personnes handicapées, celles-ci sont accompagnées par des assistants professionnels.
Le «Centre pour les migrants» est situé à Isidro Casanova (Quartier La Matanza, à l’ouest du Grand Buenos Aires). Sa mission est de fournir des soins complets pour des femmes migrantes en situation de vulnérabilité, provenant de l’étranger et des autres provinces argentines. Le centre vise la protection sociale maximale et le respect des droits humains fondamentaux.
Casita Estrella a été établie il y a 8 ans pour faire face aux besoins des enfants qui habitent dans l’ extrême pauvreté près du fleuve Paraná. L’ organisation offre plusieurs activités, comme le soutien scolaire et le sport. En outre, elle fournit aux enfants malades des soins dentaires, d’ orthophonie et de santé primaire. Elle encourage les enfants et leurs familles à montrer leur volonté et la responsabilité de poursuivre leurs rêves et construire leur avenir, en transmettant la fraternité, la tolérance et la solidarité. Les mères reçoivent un soutien spécial et peuvent participer à des ateliers d’artisanat et des cours de couture.
L’Ecole Aurora est un centre d’études, avec plus de 20 années d’expérience dans l’enseignement des métiers traditionnels, reconnu par le Ministère de l’Éducation Provinciale de Catamarca. La mission est d’intégrer, surtout les femmes de Catamarca qui sont souvent victimes de la discrimination fondée sur le sexe, et d’aider à préserver leurs cultures ancestrales. Leur vision est que l’éducation est la clé pour renforcer l’identité et l’auto-estime des femmes. Dans ce but, ils proposent trois diplômes d’art: céramique, textile et métallurgie artistique.
291'075.17 EUR: Budget alloué au projet
215'395.62 EUR: Contribution du Gouvernement luxembourgeois
75'679.55 EUR: Contribution de l’Action pour un Monde Uni asbl :
Partenaire local en Argentine: Fundación Cláritas/Suma Fraternidad
Cofinancement du Ministère de la Coopération luxembourgeoise selon Accord Cadre de Coopération signé entre le Ministère de la Coopération luxembourgeoise et l’ONG Action pour un Monde Uni en date du 11.01.2018
Témoignage de Gianluca Scannapieco, gestionnaire de projets de la « Casa de los Niños » à Cochabamba, en Bolivie
Actuellement, la Bolivie souffre d'une crise politique et sanitaire qui touche toutes les classes sociales. Il est évident que les plus faibles sont toujours ceux qui souffrent le plus.
Le problème de santé face au Covid-19 s'est transformé en propagande politique en vue des élections présidentielles prévues pour le 6 septembre 2020. Les différentes primes économiques (de 500 Bs = 65 €) et certaines remises dans le paiement des services de base (électricité, eau, gaz) ont été improductives, laissant les classes sociales inférieures (politiquement proches du parti politique d'Evo Morales, toujours en exil en Argentine) dans des difficultés économiques et sociales évidentes.
L'actuel gouvernement de transition a connu des cas de corruption et démontre son incapacité à maintenir le pays sous une politique équilibrée et efficace. La ville de Cochabamba a également subi la perte de son maire (toujours légalement représenté), aussi à cause de la corruption. Dans la partie sud de la ville, il y a actuellement des manifestations et des blocages qui empêchent le passage des camions poubelles : toute la ville de Cochabamba est pleine d'ordures dans les rues.
Les hôpitaux n'ont jamais été équipés pour faire face à la crise du Covid-19 : le nombre de personnes infectées continuent à augmenter (nous avons dépassé les 30 000 personnes infectées), certains malades meurent dans la rue ou chez eux, il y a des fosses communes dans les cimetières et certaines structures sanitaires ont fermé par manque de personnel. Depuis le 29 juin 2020, nous sommes à nouveau entrés dans une quarantaine très rigide qui ne permet l'achat de nourriture que les 6 et 7 juillet. Nous sommes obligés de fermer toutes les institutions et de suspendre les activités. Il n'y a aucune possibilité de se déplacer dans les rues.
La fondation "Asociación Casa de los Niños" est quotidiennement impliquée dans cette "guerre invisible" : nous continuons à amener des enfants et des personnes atteintes de maladies graves de leur domicile vers les hôpitaux, même depuis des villages très éloignés et ceci tous les jours. Chaque semaine, nous parcourons des centaines de kilomètres pour livrer de la nourriture et des médicaments dans la partie sud de Cochabamba et dans les villages des communautés andines. Ils nous appellent pour récupérer les corps des personnes décédées (malheureusement de nombreux enfants atteints de cancer et de leucémie) dans leur chambre et pour prendre les dispositions nécessaires pour leur enterrement ou leur incinération.
Depuis le 12 mars, nous avons dû suspendre les activités de la cuisine communautaire, de l'unité éducative et de la zone de développement intégral qui travaille avec les enfants handicapés. Les éducateurs ont essayé, au risque de leur vie, de mener des activités pédagogiques lorsque les quarantaines étaient plus souples. A l’heure actuelle, ceci est par contre impossible pour nous, étant donné que notre communauté n'a pas beaucoup d’accès à l'internet (je ne sais pas combien de photocopies de devoirs j'ai dû imprimer ces mois-ci pour les donner aux élèves, maison par maison). Heureusement, nous sommes soutenus par la communauté par le biais de notre organisation : les familles qui n'ont pas assez à manger demandent l'aide de la communauté, qui gère en permanence un dépôt de nourriture grâce aux contributions des autres familles et aux dons qui arrivent.
Il y a des gens dans notre communauté qui présentent des symptômes du virus Covid-19. Dans notre école et notamment dans la salle à manger, nous recevons les malades et les isolent de la communauté.
Nous devons résister pendant quelques mois encore et prier pour que les dommages causés par cet événement critique ne soient pas irréparables.
Je saisis cette occasion pour vous remercier énormément pour le soutien reçu de votre prestigieuse institution. Dans l'espoir que vous allez tous bien, je vous remercie du fond du cœur pour votre souci constant des enfants, des jeunes et des adultes de la Fondation "Asociación Casa de los Niños".
Prenez soin de vous et à bientôt !
Gianluca Scannapieco
Localisation
Le projet est réalisé dans trois villes différentes en République Démocratique du Congo (RDC), à Kinshasa, à Kikwit et à Lubumbashi. Kinshasa est la capitale vibrante de la RDC avec plus de 17 millions d’habitants. Kikwit est la ville principale de la province du Kwilu, située à l’Est de Kinshasa. La capitale de la province du Haut Katanga, Lubumbahsi, est située tout au sud du pays, près de la frontière avec la Zambie.
Situation actuelle
La RDC compte près de 77 millions d’habitants et de grands besoins sont constatés dans les secteurs de la santé, de l’éducation, de l’infrastructure et de l’énergie. La vie dans les trois villes n’est pas facile, beaucoup de gens n’ont pas accès à des formations professionnelles et par conséquent ils ont des difficultés pour trouver un emploi. Le manque d’éducation mène à des taux de chômage particulièrement élevés (plus de 46% en 2018).
Quelques chiffres sur le Congo
Malgré l’énorme richesse de la RDC en matières premières (coltan, diamants, cuivre, etc.) et malgré une baisse du taux de pauvreté de 71% à 64% entre 2005 et 2012, le pays n’est classé que 176e sur 188 dans l’indice de développement humain (PNUD, 2016). C’est un pays particulièrement vulnérable qui est en manque de capacités d’adaptation. L’espérance de vie à la naissance est de 59 ans et les années moyennes de scolarité sont de 6 ans (PNUD, 2016).
Description du projet (download FLYER)
Le projet vise à renforcer les capacités de la population locale par des formations professionnelles dans 7 domaines différents : la santé, l’économie solidaire et sociale, l’informatique, la couture, la coiffure, l’agriculture et les énergies renouvelables. Le projet offre aussi des formations à des formateurs qui par la suite vont donner des cours à des jeunes apprenants et entrepreneurs dans ces différents domaines. Les formations se feront à Kinshasa, à Kikwit et à Lubumbashi. L’objectif de ces activités de formation est de rendre la population capable de commencer des activités génératrices de revenus.
A travers les trois villes, un total de 1.482 personnes vont bénéficier de ce projet, dont des jeunes filles et garçons, des jeunes entrepreneurs, du personnel médical, des enseignants et des formateurs. Le nombre de bénéficiaires par domaine d’intervention est : santé (126), économie solidaire et sociale (66), informatique (606), couture (156), coiffure (156), agriculture (306), énergies renouvelables (66).
375.527,68 EUR : Budget alloué au projet
277.890,48 EUR : Contribution du Gouvernement luxembourgeois
97.637,20 EUR : Contribution de l’Action pour un Monde Uni asbl
Partenaire local en RDC : AECOM.
Cofinancement du Ministère de la Coopération luxembourgeoise selon Accord Cadre de Coopération signé entre le Ministère de la Coopération luxembourgeoise et l’ONG Action pour un Monde Uni en date du 11.01.2018
Action pour un Monde Uni asbl - ONG agréée par le Ministère de la Coopération du Grand-Duché de Luxembourg
Contact